Actualités de la mondialisation industrielle…
Note de lecture de :
François Bost, Dalila Messaoudi, « L’industrie-monde », Documentation photographique, n° 8140, 2e trim. 2021, 64 p., Paris, CNRS
05 Mar 2022
Note de lecture de :
François Bost, Dalila Messaoudi, « L’industrie-monde », Documentation photographique, n° 8140, 2e trim. 2021, 64 p., Paris, CNRS
05 Mar 2022
Intervention en visio au colloque « Où va le travail social ? », les 28-29 octobre 2021 à l’Université de Perpignan
La première partie de la communication présentera une version actualisée et enrichie de ma théorie sociopolitique critique de l’industrialisation du travail social. Cette interprétation métaphorique du « climat » général dans lequel se trouve le travail social suggère que les restructurations économiques et politiques de notre univers professionnel (marchandisations, gestionnarisations) tendent à faire de nous des agents de maintenance de l’humain, des ouvriers et ouvrières, prolétarisés, et nos métiers, des travaux à la chaîne. La seconde partie de la communication répondra à cette interprétation générale de notre univers professionnel actuel en explorant des pistes pour transformer celui-ci à travers une logique spécifique d’engagement, convoquant l’idée de « radicalité » au sens de K. Marx (« la racine pour l’humain, c’est l’humain lui-même »).
25 Nov 2021
Note de lecture de :
Alberto Giovanni Biuso, Anarchisme et anthropologie. Pour une politique matérialiste de la limite, Paris, Asinamali, 2016, 92 p., traduit de l’italien par Sarah Borderie par les soins de Luigi Balice
25 Avr 2021
Commentaire à partir du texte de Bernard Eme, 2011, « Postures assignées, usages revendiqués de la talvera », in Journal des anthropologues, n° « Postures assignées, postures revendiquées », Hors-série, p. 21 – 49, disponible en ligne : https://journals.openedition.org/jda/5725.
La compréhension du monde social tient davantage de l’analyse de ses tensions internes, entre différentes polarités, que de l’explication linéaire et déterministe. Ainsi, les choses peuvent parfois prendre longtemps avant de faire sens pour le sujet planté dans un champ social. Ce n’est souvent qu’en s’éloignant du centre de ce champ qu’il ou elle, adoptant une autre posture, un autre regard, découvre des significations jusqu’alors inaperçues. C’est un peu ce qu’il s’est passé pour moi, qui aie redécouvert ces dernières semaines les implications de ce texte, rédigé par mon ancien professeur, Bernard Eme (1948 – 2015), peu de temps avant sa disparition. J’avais lu et même relu ce texte, il y a plusieurs années, pendant mes études de sociologie et d’anthropologie, et pendant mes recherches sur les pratiques des travailleur.euse.s sociaux. Mais il n’a jamais eu autant de sens que maintenant où je me retrouve moi-même pleinement en marge à la fois de la recherche universitaire, et de la pratique professionnelle de terrain, traçant mon chemin en suivant la talvera, la bordure, de ces différents champs… Voici un premier retour, à chaud, sur cette invitation à une socio-anthropologie des polarités, comme disait Bernard, à la « flânerie » en marge des champs institués…
05 Juin 2020
Critique du film :
Batiste Combret, Bertrand Hagenmüller, « Les pieds sur Terre », Paris, Les Mutins de Pangée, 2018
09 Avr 2018
Note de lecture de deux ouvrages tirés de la collection « Les précurseurs de la décroissance », l’un sur Jacques Ellul, l’autre sur Murray Bookchin. Ces livres étudient les apports de ces auteurs à la théorie de la « décroissance ».
13 Juin 2015